mardi 22 novembre 2011

Un ciel en feu

Tu entends les applaudissements, ce sont le bruit de mes ailes qui volaient avant que la musique, avant que l'histoire ne commence ...


Ere
J'ére quelque part parmi ces nombreux nuages, parmi l'air si éphémère. Entre ces mots que j'ai dis, ceux que j'ai écris, ceux qui t'on été adressés, et ceux que j'aurais aimé te dire.
Ces phrases interminables qui n'ont certainement ni début ni fin. Ni amour, ni haine. Ce sont de simple mots que j'écris. Sur ce papier que tu vois devant toi, peint à la couleur de mes larmes, j'y ai déposé tout ce qui fait de moi un être. 

Quand je t'ai vu la première fois, malgré tes sourires et tes rires, je me suis promis de t'aider afin de voir sur ton visage, ne serait ce qu'une seule fois une joie sincère. A partir de là, je sais bien que j'ai commis des erreurs, que tu n'as pas toujours compris mon discours, ni même mes actes, mais je souhaitais juste être avec toi. Etre ton ami ? Peu importe si ce n'est que je sois avec toi.
Et dans tout ce que j'ai donné, j'y ai reçu toutes les meurtrissures de la guerre. 

"Complet" pourrait être écris des millions de fois sur mes murs - comme le rappel de mes propres règles - beaucoup le savent mon coeur est loin d'être fermé, pire, d'être occupé sans toi.
Entre la raison qui me dicte de m'échapper le plus vite, le plus loin possible, mon coeur lui me dit de tenir toutes ces promesses que je t'ai faites. Toutes celles pour qui je me bats. Quelque soit le chemin que dans lequel j'irais, l'air autour de moi ne sera plus comme avant. Ce sera seule que je contemplerai du haut du ciel, la prison de notre ère.



Papillon, les ailes en feu.

dimanche 20 novembre 2011

Pour toi, qui m'a fait versé tant de larmes...


" Mais dis-moi adieu demain
Dis-moi adieu en chemin
Va voir les autres je n’en pense rien
Je t’ai aimé mais je t’assure que c’est la fin ... "



Ne sois pas si stupide, c'est la Fin.

samedi 19 novembre 2011

J'ai fais un rêve.


Je me suis mise à rêver, comme Martin Luther King.
Dans le rêve que j'ai fais dernièrement, je n'ai ni vu de mon idéal, ni d'égalité. D'ailleurs, je ne pense pas que ce monde connaitra un jour l'égalité ! Enfin, ce n'est que mon avis.
Non, c'est lors de cette nuit si agitée, que je t'ai trouvé si différente de d'habitude... Depuis toutes ces heures noires que nous avons vécus ensemble ; Toi avec moi, ou bien moi avec toi, tu me sourirais, enfin. Ce sourire, sincère, qui ne cache rien a part une bonne humeur communicative, l'insouciance de l'extérieur, la liberté. Il n'y avait que toi.
Toi. Toi qui lis ces mots maintenant, ou toi qui me connait, ou bien toi, que je ne connais pas. 
Je t'ai régardé pendant quelques minutes qui m'ontparru etre des heures, Tu étais si bien, si calme... Un peu comme un ange ! Tu étais juste toi-même. 
Pendant ce laspe moment, j'ai cru que tu avais tourné le dos a ton passé, qu'enfin tu pourrais être une personne heureuse. Mais je me suis réveillée de mon rêve, et ai retrouvé la réalité.
Qui a dit que le bonheur ne se trouvait pas chez les autres ?  Celui qui le croit, est le premier des égoistes, et une personne bien malheureuse.

Bien, si tu as compris ce que j'ai voulu dire dans ces quelques lignes, la prochaine fois que tu as de quoi fumé, tu m'appelles. Nous serons deux à sourire.